Regarder un film sur une plateforme de streaming, au lieu de me rendre dans une salle de cinéma. Aujourd’hui le numérique a révolutionné complètement l’expérience spectateur dans l’industrie cinématographique en Afrique et ailleurs ans le monde.
Parce que tout va si vite, Faire la queue ? Terminé. Se déplacer en avance à la billetterie du cinéma pour aller voir le dernier film, l’on préférerait patiemment le découvrir sur son mobile. Pour dit cela nos habitudes sont bouleversées car tout se trouve à portée de main.
Comment le numérique révolutionne complètement l’expérience spectateur ?
Difficile de ne pas se rendre compte, il suffit de remarquer le support sur lequel vous êtes en train de lire cet article votre Smartphone, votre tablette ? Ou votre ordinateur ? Il y a de cela quelques années, à partir de nos lecteurs numériques DVD VCD, il était possible de regarder des films.
Mais Il n’a jamais été aussi aisé de dénicher et de regarder des films de toutes époques, à partir de supports physiques (DVD, Blu-ray) sur tous types d’écrans, à n’importe quel moment et dans une qualité visuelle optimale.
Les plateformes de vidéo a la demande se développent
Aujourd’hui, grâce aux différentes plateformes de vidéo a la demande SVOD mises en place l’on peut regarde un film via son appareil connecté. Payer pour avoir accès au contenu en ligne sans se déplacer et le conserver, c’est-à-dire possible de télécharger le contenu de son téléphone.
D’après un sondage en Afrique, selon le cabinet américain Digital TV Research, le nombre d’abonnés à la vidéo à la demande payante (SVoD) sera de 13,64 millions à l’horizon 2027. L’information a été communiquée par le rapport le 18 aout 2022. (sondage effectué par Africa SVOD Forecasts).
L’ expériences cinématographiques a évolué
Cette liberté de visionner que l’on souhaite, ou, quand et comment est prie en compte par ces plateformes que nous vous présenterons ci dessous : Les usages ont changé, et les expériences cinématographiques également. De plus, Nos réalisateurs, ne trouvent plus la liberté et le budget pour financer leur films, ils se tournent alors vers ces plateformes pour faciliter la production œuvre cinématographique.
Les plateformes de vidéo a la demande SVOD
-TV d’Orange, regardez vos programmes préférés en fonction de différentes thématiques sur plus de 35 chaînes.
– Marodi tv Les meilleures séries sénégalaises et africaines dont la célèbre série » Maîtresse d’un Homme Marié ! «
-Cinewax Depuis 2015, Cinewax fait la promotion des films africains à travers une programmation originale.
-Iroko + possède le plus grand catalogue en ligne de films de Nollywood au monde. La société cible maintenant davantage les marchés de la diaspora en Europe et en Amérique du Nord, plutôt que ses marchés d’Afrique de l’Ouest, à savoir le Nigeria, le Ghana et la Côte d’Ivoire, jusqu’à présent privilégiés.
-Netflix est une entreprise multinationale américaine créée à Scotts Valley en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph appartenant au secteur d’activité des industries créatives L’application mobile du site et le site lui-même permettent en 2/3 clics d’être assurés de ne pas se déplacer pour rien et suivre du contenu.
– Prime Video, est un service de vidéo à la demande créé par Amazon et présent dans de nombreux pays. Concurrent de Netflix, il propose des films, des séries et émissions de télévision à la location ou à l’achat.
Il faut ajouter aussi que les mesures sanitaires prises depuis la crise sanitaire ont changé nos habitudes. Souvenez-vous, pendant la période du confinement, le seul moyen de se délecter restait le visionnage écran. Devenant ainsi nos compagnons de toujours sur notre Smartphone, le poste téléviseur, l’ordinateur etc.
Retenons que le cinéma ivoirien s’adapte aux nouveaux modèles de création, production, diffusion et commercialisation liés au numérique et aux ITC. La Côte d’Ivoire accueille de nombreux tournages venant de l’extérieur. Ainsi rappeler que nos habitudes de visionnage changent car nous sommes à l’ère du multi-écrans. Pour vous, l’ensemble de ces nouvelles observations substituent-elles le pédigrée de l’Industrie cinématographique ?